Source : Salut Bonjour

Vous l’avez sans doute constaté: placer son argent n’a jamais été aussi facile... ni aussi complexe. Applications mobiles pour investir en bourse, produits innovants comme les cryptomonnaies ou les fonds ESG, multiplication des plateformes d’assurance en ligne: l’offre explose, les promesses aussi. Mais derrière cette apparente démocratisation, les risques pour l’épargnant n’ont jamais été aussi nombreux.
Arnaques sophistiquées, produits mal compris, frais cachés, volatilité accrue... Dans ce tourbillon, une question simple demeure: qui protège vraiment l’investisseur ordinaire?
Pour MICA Cabinets de services financiers, la réponse est claire: cette protection est non seulement une obligation légale, mais une mission fondatrice qui guide chaque décision.
En quelques décennies, le monde financier québécois a totalement changé.
Pour les conseillers comme pour les clients, cela signifie plus d’occasions d’investir... mais aussi plus d’exigences, plus d’incertitudes et moins de place à l’erreur.
L’environnement des services financiers d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec celui des années 80.
Pour les conseillers comme pour les investisseurs, cela signifie plus d’occasions, mais aussi des règles plus strictes et une vigilance accrue.

Dans ce contexte, de nombreuses institutions tombent dans le piège du «tout réglementaire»: multiplication des procédures, automatisation des rapports, mais perte de proximité humaine.
MICA, qui fêtera ses 40 ans en 2026, trace une ligne différente: respecter les plus hauts standards réglementaires sans sacrifier l’écoute et la personnalisation. Cette philosophie repose sur un principe simple: la protection de l’investisseur passe autant par la compétence technique que par la qualité de la relation humaine.
Gino Savard, président de MICA, résume ainsi: «Ce n’est pas la taille d’une organisation qui garantit la protection du public, mais la rigueur de ses décisions et la compétence de ses équipes.»
MICA a développé, au fil des ans, un écosystème d’accompagnement pour permettre aux conseillers de naviguer dans cette complexité sans compromettre l’intérêt du client.
Cela inclut un service juridique et de conformité, une cellule de sécurité informatique, une équipe d’innovation et technologie, de fiscalité, placements, assurances et planification financière. Ce modèle permet à chaque conseiller affilié de bénéficier d’un encadrement digne des plus grands groupes, tout en gardant sa liberté de conseil.
Le monde financier ne prévient pas: les changements réglementaires, les crises de marché ou l’arrivée d’un nouveau produit disruptif peuvent bouleverser la donne du jour au lendemain.
Là où beaucoup subissent, MICA anticipe:
Comme le souligne Gino Savard: «Chaque évolution réglementaire est pour nous une occasion de mieux encadrer, mieux outiller, mieux protéger.»
Pour un client, la mission «protection» de MICA se traduit par des bénéfices tangibles:
Protéger un investisseur, ce n’est pas seulement le protéger chez MICA: c’est aussi défendre une profession capable d’exercer librement et avec intégrité.
C’est pourquoi Gino Savard a porté cet engagement au niveau sectoriel, notamment à travers son rôle de président du conseil d’administration de la Chambre de la sécurité financière (CSF).
Sous sa gouverne, la CSF a mis l’accent sur:

Dans un secteur où la technologie prend de plus en plus de place, MICA insiste: l’outil ne remplace pas l’humain.
Ses conseillers sont formés pour garder la relation directe comme pilier central, même lorsqu’ils utilisent la signature électronique ou les plateformes numériques.
La priorité: écouter avant de recommander, expliquer chaque produit dans un langage clair, vérifier que le client comprend et consent en toute connaissance de cause.
Protéger l’investisseur, c’est aussi connaître sa réalité économique et culturelle.
MICA est une entreprise d’ici, qui travaille avec des conseillers répartis partout au Québec, des grands centres urbains jusqu’aux régions.
Cette proximité permet de tenir compte des réalités locales: niveau de revenu, tissu économique, habitudes d’épargne, fiscalité québécoise, projets de retraite différents de ceux observés ailleurs au Canada.
Le monde financier va continuer à se transformer vite:
MICA entend rester fidèle à la même ligne: être un rempart pour l’investisseur québécois.